Les encours clients à l’heure du digital

Si la crise économique semble s’éloigner à petit pas de notre environnement économique, la situation de nombreuses entreprises reste préoccupante. Les défaillances des clients restent problématiques pour bon nombre d’entre elles.
Aussi, il est plus que jamais nécessaire pour les sociétés d’être vigilantes quant à leur encours client.
Heureusement, la digitalisation fait son apparition sur ce secteur et offre aux structures des solutions innovantes pour améliorer leurs process en la matière.

 

Quid des encours clients ?

Les encours clients correspondent au total des créances qui sont dues à une entreprise par ses clients, déduction faites des avances et acomptes.
L’encours client, rapporté au chiffre d’affaires exprimé en TTC permet à l’entreprise de connaître la rotation du crédit client autrement le délai de paiement moyen de ses clients.

C’est une donnée essentielle pour l’entreprise qui doit financer cet encours pour payer de son côté ses fournisseurs. Aussi, il est primordial que l’encours clients soit réduit à son maximum.

Du fait de la transformation digitale, l’entreprise connaît un bouleversement de ses habitudes de travail, de ses méthodes mais également de ses outils de gestion.

Loin d’inquiéter les chefs d’entreprise, cette digitalisation doit permettre aux structures de gagner en agilité et en efficacité dans la prévention de gestion des risques. Elle requiert toutefois d’être bien menée et d’être accompagnée en amont d’une réflexion stratégique importante.

Les outils digitaux au service de l’encours client

Le Crédit Manager est souvent l’expert de l’encours clients dans l’entreprise. Il identifie et évalue les risques puis gère le recouvrement des factures impayées et les dossiers contentieux. Le cycle de vente de l’entreprise est au coeur de son action et il est doit  posséder une vision globale de l’activité de l’entreprise.

Les nouveaux outils de gestion du risque et de l’encours clients vont lui permettre de gagner en pertinence dans ses actions.

Pensons tout d’abord à la dématérialisation des factures qui apporte un gain financier non négligeable à l’entreprise et une avancée bénéfique dans la sécurisation des factures avec des erreurs moins fréquentes. Viennent ensuite les outils de gestion de relance des impayés permettant aux professionnels de consacrer leur temps à des tâches plus spécifiques et à plus forte valeur ajoutée.

Le Big Data fait également son apparition dans les procédures, il enrichit les données de l’entreprise, les analyse, les classifie et offre une segmentation des dossiers et des problématiques tout à fait intéressante pour une meilleure gestion.

On voit apparaître également des outils d’aide à la décision stratégique via des plateformes 100% digitales, accessibles par mobiles et desktop, accessibles 24h/24 et bien souvent entièrement personnalisables.
Pour exemple l’outil Crédit Management April qui permet à l’entreprise d’évaluer en direct la situation de ses clients grâce à la centralisation des données des 3 principales sociétés d’information du marché Altares, CreditSafe, Infolegale.

Citons également les entreprises de la FinTech, dynamiques et ambitieuses qui entendent révolutionner les services financiers : moyens de paiement, crédit, gestion du patrimoine et de l’épargne, affacturage…
Comme Aston iTrade Finance, élue FinTech de l’année 2015, qui propose une plateforme de services pour aider les entreprises à gérer leur poste client : relances automatisées, évaluation de la situation des créanciers, mise en relation avec une assurance-crédit ou une société d’affacturage … elle entend alléger le quotidien des directions financières et améliorer leur efficacité.

Si la digitalisation n’est pas subie et au contraire plébiscitée par l’entreprise, celle-ci a tous les outils à sa disposition pour sécuriser son encours clients et ainsi, améliorer ses résultats financiers.

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